l'infinité des nuances de gris et la profusion des mouvements, éclats, éclaboussures. Quand tu peins, c'est la même chose. C'est étrange ce que l'oeil fait à la réalité. Ainsi il est bien vrai qu'un observateur modifie par le seul fait de l'observer l'objet de son observation.
2 commentaires:
l'infinité des nuances de gris et la profusion des mouvements, éclats, éclaboussures. Quand tu peins, c'est la même chose. C'est étrange ce que l'oeil fait à la réalité. Ainsi il est bien vrai qu'un observateur modifie par le seul fait de l'observer l'objet de son observation.
C'est un travail sensible et humble, c'est à dire près de l'humus, de l'humain, de la trace...Très fort. Continue!
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