pierre gaudu / photographies

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vendredi 29 octobre 2010

Laffrey, le lac par grand vent

4 commentaires:

Anonyme a dit…

la force du vent
de petites vagues renouvelées
le cycle recommence
encore un
plus calme
à regarder

la première photo est belle
dans ce mouvement du temps et de l'eau
comme des feuilles en paillettes
couleur d'ambre ou de miel
sur la vague de l'onde
sur la vague du temps

Florence D.

Astrid Duparc-Lyng a dit…

Bonjour Pierre,

Quand le vent et l’eau s’étreignent ainsi, n’y a-t-il pas féérie ?
Quand l’automne dénude ses arbres et que les feuilles s’abandonnent dans une dernière extase, il y a quintessence.
Qui d’autre que l’arrière-saison colore, si flamboyant, une fin annoncée ?
Tu verrais, Pierre, il y a un chalet dans la région du telemark en Norvège, près d’un lac, entouré d’une forêt qui, en automne, rougit à vous faire pâlir. Le chalet de mes vieux jours…
Tes photos sont superbes et entre nous, ce support a une autre gueule que facebook !
Bien à toi,
Astrid.

pierre gaudu a dit…

mon passage prolongé sur FB ma fait faire quelques très belles et enrichissantes rencontres,rien que pour cette raison je n'ai rien à regretter... ce que tu offrais en toute modestie aux regards des autres (je parle de tes photographies) m'a beaucoup touché, j'espère que tu poursuis tes contemplations au fil de l'eau ;-)
mon lac à moi est ceinturé de hêtres, jamais rouges, mais plutôt fauves en cette saison, mais c'est grandiose également... je suppose que tu parles des érables ?
merci Astrid pour ce commentaire, merci d'être venue me rendre visite ici, j'en suis très heureux,
bonne continuation pour ce qui est de ton travail d'écriture :)
avec l'amitié
pierre

Astrid Duparc-Lyng a dit…

Heureusement, oui, qu'il y a ces rencontres. No regrets.
A mes contemplations, je dirais plutôt qu'elles se vivent sur du -grand format- si je puis dire. Et qu'elles se laissent filer. Les photographies que je partageais relevaient d'autre chose, je crois. Tel un "zoom" sur des détails, une certaine vision, si fragile, de petits moments de poésie au milieu d'un environnement qui s'y prête peu. Au détour d'une cité, d'une avenue, un point d'eau, une feuille d'automne égarée, etc., etc. De ces petits détails, essentiels, qui font que l'on peut se sentir 'à peu près' bien 'à peu près' partout. En ville, je vois si peu de gens lever les yeux pour voir la couleur du ciel...
Moi aussi très heureuse de te retrouver ici,
et en plus... nous avons le plaisir de découvrir tes traits !
A très bientôt,
Astrid.